Venu des États-Unis, les amateurs de ce sport sont toujours plus nombreux. Objectif : faire perdre la balle aux adversaires.
Deux équipes de deux, un filet composé d’un mini trampoline, une balle et c’est parti ! C’est le nouveau sport tendance : le roundnet, aussi appelé Spikeball du nom de la marque qui commercialise le matériel. L’installation du terrain peut se faire n’importe où : sur la plage, au parc… pas besoin de beaucoup d’espace dans un premier temps pour des joueurs qui débutent. L’idée est de passer la balle à son partenaire, trois touches consécutives maximum, avant de la faire rebondir sur le filet et espérer que les adversaires ne parviendront pas à la rattraper. Le tout avec ses mains, mais une seule à la fois. Interdit de taper la balle avec ses deux mains en même temps. Le point est gagné quand l’équipe adverse laisse tomber la balle au sol. Le match peut se jouer en 12, 15 ou 21 points gagnants ; en un seul set ou bien deux ou trois sets gagnants. « C’est un mélange de volley-ball et de tennis », explique Basil Bon. Amateur de roundnet, il est l’un des fondateurs de la page Facebook dédié à ce sport en Polynésie, ancien sportif de haut niveau en rugby et par ailleurs entraineur de l’équipe féminine de rugby de Pirae, Arue et Papeete. Pour servir, les joueurs doivent se trouver à deux mètres minimums du filet et le service s’effectue comme au tennis, mais sans raquette. Ensuite, les joueurs peuvent entrer dans ces deux mètres ou se trouver beaucoup plus loin car aucune ligne ne délimite le terrain. Il est donc possible de devoir courir très loin…
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